Chers lecteurs,
Aujourd'hui je vous propose un voyage dans l'univers de la poésie avec pour généreux guide Jean-Claude Morera...
Bonne découverte !
Bonjour Jean-Claude, voulez-vous vous présenter en quelques mots pour nos lecteurs ?
Je suis marié, j’ai 67 ans, trois grands enfants, deux petites-filles, deux chats et deux poissons rouges. J’ai eu jusqu’à présent dans la Région parisienne une vie assez typique de baby boomer. Dans l’ordre : éducation, religion, abjuration, révolution, introspection, reconversions, inspiration, méditation… et ce n’est pas fini.
Comment vous avez découvert la poésie ?
J’aime depuis toujours le travail sur la langue et l’écriture. La bibliothèque de mon père recelait beaucoup d’ouvrages de poésie que d’ailleurs je ne comprenais pas (en catalan et espagnol) mais qui me fascinaient. A 20 ans, j’ai entendu le grand comédien Vicky Messica dire « La prose du transsibérien… » de Blaise Cendrars et j’ai su que je pouvais écrire de la poésie.
C’est ainsi que j’ai produit mes premiers vers rapidement couronnés par un quatrième prix du concours de la MJC de Levallois-Perret grâce et auquel je me suis acheté une paire de chaussures neuves.
Vous avez publié des recueils de poésie, comment se lance-t-on dans ce type d'aventure ?
Aujourd'hui je vous propose un voyage dans l'univers de la poésie avec pour généreux guide Jean-Claude Morera...
Bonne découverte !
Bonjour Jean-Claude, voulez-vous vous présenter en quelques mots pour nos lecteurs ?
Je suis marié, j’ai 67 ans, trois grands enfants, deux petites-filles, deux chats et deux poissons rouges. J’ai eu jusqu’à présent dans la Région parisienne une vie assez typique de baby boomer. Dans l’ordre : éducation, religion, abjuration, révolution, introspection, reconversions, inspiration, méditation… et ce n’est pas fini.
Comment vous avez découvert la poésie ?
J’aime depuis toujours le travail sur la langue et l’écriture. La bibliothèque de mon père recelait beaucoup d’ouvrages de poésie que d’ailleurs je ne comprenais pas (en catalan et espagnol) mais qui me fascinaient. A 20 ans, j’ai entendu le grand comédien Vicky Messica dire « La prose du transsibérien… » de Blaise Cendrars et j’ai su que je pouvais écrire de la poésie.
C’est ainsi que j’ai produit mes premiers vers rapidement couronnés par un quatrième prix du concours de la MJC de Levallois-Perret grâce et auquel je me suis acheté une paire de chaussures neuves.
Vous avez publié des recueils de poésie, comment se lance-t-on dans ce type d'aventure ?